Historique
L’apparition de l’équitation au sein des Jeux olympiques remonte au 7ème siècle av. J-C, initialement en tant que course de char et courses à cru. L’introduction du tethrippon, course de près de 14 km, ainsi que l’apene, de 7 km, se concrétisa au 6ème et 5ème siècle av. J-C. L’apene, jugée trop dangereuse, fut remplacée à la fin du 5ème siècle av. J-C par la synoris, une course de char à deux chevaux.
Aux JO de 1900, les sports équestres réapparaissent avec le polo, séparé des autres sports équestres. On y retrouvait également cinq autres épreuves : du saut d’obstacle, du saut en largeur, du saut en hauteur, un concours de cheval de selle ainsi qu’un concours d’attelage. Les sports équestres disparurent des JO et ne furent réinstaurés qu’en 1912, avec le complet en individuel et en équipe, le dressage individuel, le saut d’obstacle individuel et en équipe. Seuls des officiers pouvaient prendre part à ces concours en ce temps-là, caractéristique d’autant plus appuyée entre 1920 et 1936, lors que d’entre-deux-guerres ou seuls des militaires, uniquement masculins, participaient. Ce sont d’ailleurs les débuts de la voltige en épreuve olympiques.
Après la guerre, lors des Jeux de 1952, on pouvait observer le début de la mixité au sein même du sport, s’ouvrant alors à tous sportifs, même non-officiers ou force de l’ordre, mais aussi et surtout aux femmes cavalière.
Depuis le début du XXIe siècle, les sports équestres aux JO se mondialisent et certains pays s’efforcent de se donner les moyens de trouver de bons athlètes pour agrandir l’influence du pays à l’échelle mondiale en se représentant au maximum. De nos jours, il existe trois principales disciplines en vigueur : le saut d’obstacle, le dressage et le concours complet.
Règles
Le saut d’obstacles consiste à franchir des obstacles mobiles répartis sur le terrain dans le temps le plus court possible, cela sans erreur. La chute du cheval ou du cavalier est éliminatoire pour le pays. On distingue trois grandes catégories d’obstacles : les verticaux, les larges, et les naturels, dont certains pouvant se classer dans plusieurs catégories à la fois. Chaque obstacle peut se démarquer par un numéro et deux fanions, un blanc à gauche et un rouge à droite, afin que les cavaliers puissent se repérer au cours de leur prestation. Le parcours mesure entre 600 m et 700 m ainsi qu’un nombre d’obstacle variable bien que souvent aux alentours de la quinzaine. Eux mesurent entre 1,40 m et 1,60 m de hauteur tandis que leur largeur ne dépasse jamais 2,20 m, à l’exception de la rivière qui mesure 4,75 m.
Le dressage est une épreuve mettant en jeu l’obéissance du cheval et la maîtrise du cavalier. Un enchaînement de mouvements est prédéfini par les jurys, puis les cavalier doivent s’entraîner à la reproduire le mieux possible. La précision et l’attitude sont relevés par les jurys répartis dans l’espace. Chaque prestation débute par un arrêt et un salut, puis se termine de même. L’épreuve du dressage existe sous trois variantes : le Grand Prix, le Grand Prix Spécial et le Grand Prix Libre en musique. Ces épreuves se composent d’une trentaine de mouvements et ont une durée moyenne de huit minutes.
Le concours complet se compose de trois épreuves dérivées des épreuves militaires du XXe siècle : le dressage, le cross et le saut d’obstacles. L’épreuve du dressage et du saut d’obstacles furent déjà abordées, alors voyons plus précisément celle du cross. Le cross est un concours d’obstacles fixes, à l’opposé des obstacles mobiles du saut d’obstacle, ce qui complique l’épreuve et facilite les chutes. L’objectif est de franchir tous les obstacles dans le temps le plus proche du temps imparti, sans quoi le cavalier sera pénalisé. Chaque échec provoque une diminution du temps pour la fin de l’épreuve. Le concours complet peut s’effectuer seul ou en équipe.
Matériel
Le matériel des cavaliers se décompose en deux catégories : les vêtements de protection et le matériel lié directement à la pratique et au cheval. Pour se protéger en cas de chute, le cavalier doit être équipé d’un casque appelé « bombe » et d’un gilet de protection pour le dos et les côtes. Pour s’adapter au cheval, il est important de porter des gants à picots, pour bien maintenir les rênes, ainsi que des bottes d’équitation pour garder les pieds bien positionné et éviter les chutes.
En ce qui concerne le matériel directement en contact avec le cheval, il est impératif d’opter pour une selle adaptée à la morphologie du cheval mais aussi à la pratique, l’épreuve, accompagnée des sangles, des étriers et d’un tapis de selle qui protège le dos du cheval. Pour pouvoir garder contrôle sur le cheval, il faut avoir un licol.
L’apparition de l’équitation au sein des Jeux olympiques remonte au 7e siècle av. J-C, initialement en tant que course de char et courses à cru. L’introduction du tethrippon, course de près de 14 km, ainsi que l’apene, de 7 km, se concrétisa au 6e et 5e siècle av. J-C. L’apene, jugée trop dangereuse, fut remplacée à la fin du 5e siècle av. J-C par la synoris, une course de char à deux chevaux.
Aux JO de 1900, les sports équestres réapparaissent avec le polo, séparé des autres sports équestres. On y retrouvait également cinq autres épreuves : du saut d’obstacle, du saut en largeur, du saut en hauteur, un concours de cheval de selle ainsi qu’un concours d’attelage. Les sports équestres disparurent des JO et ne furent réinstaurés qu’en 1912, avec le complet en individuel et en équipe, le dressage individuel, le saut d’obstacle individuel et en équipe. Seuls des officiers pouvaient prendre part à ces concours en ce temps-là, caractéristique d’autant plus appuyée entre 1920 et 1936, lors que d’entre-deux-guerres ou seuls des militaires, uniquement masculins, participaient. Ce sont d’ailleurs les débuts de la voltige en épreuve olympiques.
Après la guerre, lors des Jeux de 1952, on pouvait observer le début de la mixité au sein même du sport, s’ouvrant alors à tous sportifs, même non-officiers ou force de l’ordre, mais aussi et surtout aux femmes cavalière.
Depuis le début du XXIe siècle, les sports équestres aux JO se mondialisent et certains pays s’efforcent de se donner les moyens de trouver de bons athlètes pour agrandir l’influence du pays à l’échelle mondiale en se représentant au maximum. De nos jours, il existe trois principales disciplines en vigueur : le saut d’obstacle, le dressage et le concours complet.
Règles
Le saut d’obstacles consiste à franchir des obstacles mobiles répartis sur le terrain dans le temps le plus court possible, cela sans erreur. La chute du cheval ou du cavalier est éliminatoire pour le pays. On distingue trois grandes catégories d’obstacles : les verticaux, les larges, et les naturels, dont certains pouvant se classer dans plusieurs catégories à la fois. Chaque obstacle peut se démarquer par un numéro et deux fanions, un blanc à gauche et un rouge à droite, afin que les cavaliers puissent se repérer au cours de leur prestation. Le parcours mesure entre 600 m et 700 m ainsi qu’un nombre d’obstacle variable bien que souvent aux alentours de la quinzaine. Eux mesurent entre 1,40 m et 1,60 m de hauteur tandis que leur largeur ne dépasse jamais 2,20 m, à l’exception de la rivière qui mesure 4,75m.
Le dressage est une épreuve mettant en jeu l’obéissance du cheval et la maîtrise du cavalier. Un enchaînement de mouvements est prédéfini par les jurys, puis les cavalier doivent s’entraîner à la reproduire le mieux possible. La précision et l’attitude sont relevés par les jurys répartis dans l’espace. Chaque prestation débute par un arrêt et un salut, puis se termine de même. L’épreuve du dressage existe sous trois variantes : le Grand Prix, le Grand Prix Spécial et le Grand Prix Libre en musique. Ces épreuves se composent d’une trentaine de mouvements et ont une durée moyenne de huit minutes.
Le concours complet se compose de trois épreuves dérivées des épreuves militaires du XXe siècle : le dressage, le cross et le saut d’obstacles. L’épreuve du dressage et du saut d’obstacles furent déjà abordées, alors voyons plus précisément celle du cross. Le cross est un concours d’obstacles fixes, à l’opposé des obstacles mobiles du saut d’obstacle, ce qui complique l’épreuve et facilite les chutes. L’objectif est de franchir tous les obstacles dans le temps le plus proche du temps imparti, sans quoi le cavalier sera pénalisé. Chaque échec provoque une diminution du temps pour la fin de l’épreuve. Le concours complet peut s’effectuer seul ou en équipe.
Matériel
Le matériel des cavaliers se décompose en deux catégories : les vêtements de protection et le matériel lié directement à la pratique et au cheval. Pour se protéger en cas de chute, le cavalier doit être équipé d’un casque appelé « bombe » et d’un gilet de protection pour le dos et les côtes. Pour s’adapter au cheval, il est important de porter des gants à picots, pour bien maintenir les rênes, ainsi que des bottes d’équitation pour garder les pieds bien positionné et éviter les chutes.
En ce qui concerne le matériel directement en contact avec le cheval, il est impératif d’opter pour une selle adaptée à la morphologie du cheval mais aussi à la pratique, l’épreuve, accompagnée des sangles, des étriers et d’un tapis de selle qui protège le dos du cheval. Pour pouvoir garder contrôle sur le cheval, il faut avoir un licol.
Bibliographie